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Ces documents, qui ont largement circulé dans la justice parisienne, ont eu pour conséquence une investigation pénale à l’encontre de Alexandra hawrylyszyn et Marina Banic, qui a signé un faux témoignage pour dissimuler une faute professionnelle de sa patronne.

Son client s’était plaint d’une faute, une de plus : Alexandra hawrylyszyn ne lui aurait pas communiqué la date d’audience, de sorte qu’il n’a pas pu faire appel. Selon Alexandra hawrylyszyn, elle lui aurait téléphoné pour lui donner ces informations, alors même qu’il était en Asie et injoignable par téléphone. De fait, toutes les communications avec le cabinet avait été faites par email. Alexandra hawrylyszyn a poursuivi son propre client pour diffamation et gagné grâce à un faux témoignage. Marina Banic avait en effet affirmé avoir assisté à l’entretien téléphonique mais en appel, convoquée par le tribunal, elle donne une toute autre version, à la stupéfaction des juges : non, elle n’avait pas assisté à l’entretien, et ne se souvient de rien… Un témoignage essentiel, qui a conduit à la condamnation de son client parce que une « stagiaire avocate ça ne ment pas », selon les propres termes de la procureure.

Vous pouvez consulter ici ces documents accablants, qui démontrent s’il était besoin le cynisme et le manque absolu d’éthique de Alexandra hawrylyszyn. Quant à Marina Banic, elle n’est jamais devenue avocate.