Choisir cette avocate pourrait bien être la pire erreur de votre vie.
C’était en 2012, neuf ans plus tard ce cauchemar me poursuit encore, avec des correspondances adressées à moi-même ou mon avocat. Jugez plutôt :
C’était l’été et sur le point de partir en ONG pour six mois. Pris par le temps, je suis une publicité Google and fait appel à… Alexandra Hawrylyzn. Les mauvais signaux ne manquaient pourtant pas : on me demande de payer d’avance la consultation, ce que je refuse. Une fois dans le bureau, une pièce petite et obscure, je pose les billets sur la table : Elle s’en empare d’un air vorace, s’exclamant en s’adressant à la personne à coté d’elle, intimidée par le montant en liquide : « l’argent ce n’est pas sale ! ».

Je n’aurai plus alors que quelques contacts par email, jamais avec mon avocate : uniquement avec des stagiaires, dont ce n’est pourtant pas le rôle. Je ne serai pas consulté sur les conclusions, ni sur la manière dont s’est déroulé le procès qui se déroule en France, à 12 000km.
Puis, au mois de mai 2013, surprise : je reçois le verdict, bien trop tard pour faire appel. Mon avocate n’avait cru en effet utile de m’en aviser, ni des possibilités de recours, comme c’est pourtant le devoir de tout avocat.

Et c’est là que le cauchemar a commencé. J’en parle autour de moi, et une personne poste quelques courts articles sur le net. « Mon » avocate qui refusait de m’adresser la parole et m’avait déjà raccroché au nez violemment en me disant « ne me recontactez jamais! », décide alors de me me poursuivre en diffamation. Motif: oser dire qu’elle ne m’a pas avisé du résultat du procès. Le montant réclamé ? Plus de 100 000 euros !

Elle aura à cette occasion démontré une fois encore ses piètres talents d’avocate : Le tribunal lui en accordera… 2000. Un montant quasiment symbolique. Cela plus l’article 700, elle n’a probablement même pas couvert ses frais. Fait amusant, Lorsqu’elle a montré ses jusficatifs fiscaux en début de procédure, le juge se montra surpris par le montant, manifestement très faible car Alexandra HAWRYLYSZYN, rouge de confusion, bafouilla un « J’ai eu une année difficile.. » Elle avait gagné, on y reviendra, grâce au témoignage d’une de ses asssistantes qui affirma qu’elle m’avait téléphoné en Asie pour m’aviser du verdict…

Outré, j’ai décidé de faire appel. Et cette fois-ci la personne qui a fait ce témoignage déterminant donne une toute autre version: Appelée a témoigner sous serment, elle affirme n’avoir tout bonnement pas été présente lors du fameux appel téléphonique !

A la surprise générale, j’ai pourtant perdu. Cette petite plaisanterie m’a couté, en raison des frais, près de 10 000 euros. Voici donc ce que vous risquez en faisant appel à Alexandra HAWRYLYSZYN. Mais ce n’est pas tout: J’ai reçu de la part de son cabinet, et d’elle-même, des mails d’insultes et de menaces, encore récemment. Oui, récemment, presque neuf années plus tard.

Mais le pire fut lors du procès, lorsqu’elle parla de mon épouse en disant que je l’avais « engrossée ». Oui, engrossée, comme un animal. C’est donc tout ce que nous sommes pour elle: des animaux, tout juste bons à lui donner de l’argent pour soutenir son train de vie, et se taire, sous peine de rétorsion, lorsqu’elle aura massacré le travail.

Alors, vous voulez faire appel à elle ? Et si cela ne vous suffit pas, je suis facile à joindre, n’ayant qu’effleuré la pointe de ce misérable cauchemar.